Objet dâĂ©tude la littĂ©rature dâidĂ©es du XVIe au XVIIe siĂšcle. Parcours Imagination et pensĂ©e au XVIIe siĂšcle. Les Ćuvres littĂ©raires sont habituellement censĂ©es Ă©mouvoir ou divertir. DĂšs lors, lâexpression littĂ©rature dâidĂ©es» renvoie Ă une pratique rĂ©putĂ©e plus aride lâargumentation. Les auteurs veulent agir, modifier les idĂ©es et les façons de vivre de leurs contemporains. Or, les Fables de La Fontaine ont longtemps Ă©tĂ© associĂ©es Ă une morale figĂ©e, Ă lâenfance, sous prĂ©texte quâil sâagit souvent dâhistoires brĂšves mettant en scĂšne des animaux, et qui dĂ©bouchent sur une leçon conventionnelle. Mais les Fables sont parfois dĂ©rangeantes leur morale nâa rien de banale. Elles soulignent la difficultĂ© de vivre dans un monde dangereux. Comment La Fontaine met-il lâimagination libre au service dâune pensĂ©e complexe, parfois transgressive, et qui stimule la libertĂ© du lecteur? Les Fables des images codĂ©es qui donnent Ă penser La Fontaine suit les fabulistes antiques pour faire rĂ©flĂ©chir, il est plus efficace de raconter une histoire que de dĂ©velopper une idĂ©e abstraite. â La nature imaginaire contre la pensĂ©e de Versailles Les fables sont lâaboutissement de la rĂ©flexion politique de La Fontaine, qui appartient Ă une gĂ©nĂ©ration déçue par Louis XIV. LâĂ©lĂ©phant et le singe de Jupiter», XII 21, permet au fabuliste et aux lecteurs de réévaluer le mode de vie de la Cour rien nâa dâimportance aux yeux des dieux. En donnant Ă imaginer une querelle animaliĂšre sans importance, La Fontaine permet de penser la vanitĂ© humaine. â Hommes ou animaux? La Fontaine brouille la distinction entre humain et animal Un loup rempli dâhumanité» assiste, scandalisĂ©, au festin de bergers qui mangent un agneau Ă la broche Le Loup et les Bergers», X 5. Lâhumain, tel que La Fontaine le fait imaginer et penser, est aussi violent quâun animal, et plus injuste. â Dieux imparfaits et libertinage LâAmour et la Folie, XII 14 lâAmour est reprĂ©sentĂ© sous les traits dâun enfant aveugle. La Fontaine impute ce handicap Ă une dispute entre les dieux, et montre que ces prĂ©tendus modĂšles sont peu crĂ©dibles. Lâimagination, associĂ©e Ă la mythologie, remet en cause le sacrĂ© pensĂ©e libertine. Tous les repĂšres moraux sont bousculĂ©s par les Fables lâimagination et la pensĂ©e sâassocient pour dĂ©truire les fondements de la moralitĂ©. De la folle du logis, maĂźtresse dâerreur et de fausseté», Ă la libertĂ©. Lâimagination est critiquĂ©e par Pascal, contemporain de La Fontaine, qui lâassocie Ă la folie. La Fontaine en fait le ressort des libertĂ©s personnelles. â ComĂ©die sociale et dĂ©nonciation IX 15 la nuit, face au danger du Voleur, la Femme se jette dans les bras du Mari quâelle refuse dâapprocher. Proche des satires de MoliĂšre, la fable vise les contraintes sociales, et les dĂ©nonce lâimagination, libĂ©rĂ©e par le rire grivois, stimule la pensĂ©e. â La rĂȘverie contre le contrĂŽle de lâesprit La Lionne et lâOurse», X 12. LâĂ©vocation de la guerre de Troie fait appel Ă lâimagination, et fonctionne comme une consolation en trouvant une douleur plus grande que la sienne, on sâapaise. Lâimagination apaise la pensĂ©e trop chagrine. Et non lâinverse! â Inspiration antique Le vieillard et les trois jeunes hommes», XI 8. Fable inspirĂ©e de Virgile, CicĂ©ron, SĂ©nĂšque la sagesse antique parle Ă lâimagination du fabuliste, qui lâutilise pour donner Ă penser. Les fables, associant Ă©rudition, imagination et raisonnement, libĂšrent. DĂ©sir dâun monde meilleur et plus libre Lâimaginaire des Fables, contre lâinjustice et la bĂȘtise, invite Ă une pensĂ©e politique. â Le plus grand lecteur Avec la dĂ©dicace Ă Madame de Montespan, les fables sâinvitent dans lâintimitĂ© du monarque ; les spĂ©cialistes M. Fumaroli y voient le projet de dĂ©tourner le roi de son aveuglement». Les fables veulent donner le pouvoir Ă lâimagination, qui propose Ă la pensĂ©e un monde plus Ă©quitable. â PensĂ©e lucide ou rĂȘve dâun monde juste? La ForĂȘt et le BĂ»cheron», XII 16 face Ă la mĂ©chancetĂ© humaine, les fables ne servent Ă rien. Je suis las dâen parler» est une maniĂšre de demander au lecteur de prendre le relais. Imagination + PensĂ©e = Politique. â BriĂšvetĂ© pour laisser rĂȘver et rĂ©flĂ©chir LâĂ©ducation», VIII 24 la fable donne Ă imaginer lâabĂȘtissement de qui sâĂ©loigne de la nature et perd sa libertĂ©. La leçon est dĂ©mocratique. Comme le veut lâesthĂ©tique de lâexpression brĂšve, il sâagit de frapper lâimaginaire pour faire rĂ©agir plus librement la pensĂ©e. CE QUâIL FAUT RETENIR En proposant de courtes histoires, La Fontaine utilise un procĂ©dĂ© efficace. En effet, lâhistoire permet de convaincre le lecteur, et la morale emporte lâadhĂ©sion. Lâimagination et les animaux sont au service dâune pensĂ©e qui nâĂ©pargne aucun prĂ©jugĂ©, et plaide pour la justice et la libertĂ©. Lâimagination libĂ©ratrice est cĂ©lĂ©brĂ©e dans un siĂšcle qui lui est hostile.
Re: Dissertation sur les fables de la Fontaine eh c deja pa mal ! je suis en PCSI Sur le mĂȘme sujet. PlanĂšte. Comment installer une fontaine solaire ? Maison. Fontaine extĂ©rieure de jardin : comment choisir ? Discussions similaires. Dissertation Sur britannicus. Par chtiteportugaizz dans le forum TPE / TIPE et autres travaux RĂ©ponses: 4 Dernier message:Forum Archives du forum Divers [ARCHIVE] Philosophie une dissert sur les fables de La Fontaine... Affichage des rĂ©sultats 1 Ă 2 sur 2 27/10/2004, 14h03 1 Kay une dissert sur les fables de La Fontaine... - Salut ! De peur de nous ennuyer pendant les vacances, notre prof de français nous a donnĂ© Ă faire une "petite" dissert dont voici l'intitulĂ© "les fables de La Fontaine font-elles l'animal Ă l'image de l'homme ou bien l'homme Ă l'image de l'animal". Je voulais faire deux parties principales, l'une concernant l'homme Ă l'image de l'animal et une autre pour l'inverse. Pour ce qui est de l'animal Ă l'image de l'homme dans les fables, il me vient beaucoup d'idĂ©es, ce qui est, je pense, tout naturel. Mais pour l'homme Ă l'image de l'animal, j'ai beaucoup plus de mal, en l'occurence, je n'ai aucune idĂ©e intĂ©ressante. Pourriez-vous me donner votre avis sur la question, ce qui me permettrait peut-ĂȘtre d'avancer et de trouver d'autres idĂ©es par la suite? D'avance je remercie ceux qui voudront bien me rĂ©pondre !! Kay. - 27/10/2004, 14h48 2 arwen2609 Re une dissert sur les fables de La Fontaine... Bonjour , Pour l'homme Ă l'image de l'animal l'homme a quelques fois des instincts primitifs par exemple sous le coup de la colĂšre il ne cherche pas en gĂ©nĂ©ral Ă savoir ce qui est "bon" ou non. De mĂȘme l'envie sexuelle peut ĂȘtre qualifiĂ©e d'animale , bref tout ce qu'on appelle "bas-instincts" sont assimilables Ă l'animal . En espĂ©rant que ça ait pu t'aider. Pour rĂ©ussir, il ne suffit pas de prĂ©voir. Il faut aussi savoir improviser . Azimov Sur le mĂȘme sujet Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 04h37. LaFontaine a utilisĂ© le champ lexical des humeurs «hardi» (vers 7) «colĂšre» (vers11) «cruelle» (vers18), on voit donc que le Loup est mĂ©chant et brusque avec l'agneau qui lui est gentil et frĂȘle. L'auteur met en scĂšne des animaux pour reprĂ©senter des humains avec des traits de caractĂšres spĂ©cifiques et des humeurs diffĂ©rentes.
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Ensuite de 1693 Ă 1695, aprĂšs la mort de Mme de la SabliĂšre, il trouve refuge dans le chĂąteau de Bois-le-Vicomte, chez les dâHervart. La jeunesse et la joie de ces jeunes gens Ă©gaient la fin de vie du fabuliste. En 1694, La Fontaine trouve la force de publier le livre XII des fables, il sâĂ©teindra quelques mois plus tard, le 13 avril
Dissertationsur les Fables de La Fontaine. Sujet : La Fontaine dans ses Fables, vise à plaire tout en instruisant. Votre lecture des Fables vous permet-elle de souscrire à ce jugement ? ⹠Des pistes de réflexion pour reprendre le travail fait en cours : I) Faire jouer les notions entre elles ; définir les mots du sujet = voir votre prise de notes. AprÚs avoirréfléchi à chaque mot
Texte intĂ©gral 1La prĂ©sente Ă©tude se propose de dĂ©gager les principaux domaines qui ont fait lâobjet dâune sĂ©rie dâĂ©tudes littĂ©raires permettant une connaissance plus approfondie et plus nuancĂ©e de lâĆuvre de La Fontaine. On ne retiendra que les Fables qui constituent dâailleurs le point focal du domaine mĂȘme si Adonis, Le Songe de Vaux, La Relation dâun voyage en Limousin, les Contes et PsychĂ© retiennent de plus en plus lâattention des critiques. Ces Ă©tudes Ă©clairent dâailleurs indirectement la lecture des Fables qui reflĂštent comme un prisme la diversitĂ© de lâĆuvre lafontainienne. 2LâĂ©tat des lieux des Ă©tudes thĂ©oriques concernant les Fables ne remontera guĂšre au-delĂ des annĂ©es quatre-vingt, câest-Ă -dire quâil couvrira environ deux dĂ©cennies. Tous les travaux auxquels on fera rĂ©fĂ©rence sâappuient Ă©videmment sur ceux de la pĂ©riode prĂ©cĂ©dente Georges Couton, Pierre Clarac, RenĂ©e Köhn, entre autres, ne sont pas sans continuer dâinfluencer les lafontainiens dâaujourdâhui. 1 La BruyĂšre, Les CaractĂšres, Des ouvrages de lâesprit », 1 I, Ă©d. R. Garapon », class. Garnier, ... 2 Ăpilogue des six premiers livres. 3 PrĂ©face des Fables. 4 Contre ceux qui ont le goĂ»t difficile, II,1. 3Certes, Tout est dit, et lâon vient trop tard...1 et il convient dâĂ©viter [...] dâĂ©puiser une matiĂšre pour nâen [...] prendre que la fleur2. Tout cela semble convenir parfaitement au sujet. Tout en effet est dit sur la vie et lâĆuvre du fabuliste mais il semble loisible de considĂ©rer que nombre des fables de La Fontaine Ă©tant sues de tout le monde, je ne ferais rien si je ne les rendais nouvelles par quelques traits qui en relevassent le goĂ»t3. Il est toujours tentant mais aventureux de parler de La Fontaine. De lâEloge de Chamfort aux tout derniers essais de Patrick Dandrey, en passant par Taine, Clarac, Giraudoux, ValĂ©ry, la critique lafontainienne est dâune haute tenue que ne dĂ©savouerait pas le dĂ©tracteur des censeurs au goĂ»t difficile4. Au total, une rĂ©flexion poussĂ©e, abondante, subtile et trois fois centenaire met au dĂ©fi qui chercherait absolument Ă faire du neuf sur un auteur si inlassablement mis en lumiĂšre par les critiques, les Ă©rudits et les poĂštes. 5 Voir Le Juge-Arbitre, lâHospitalier et le Solitaire et le prologue A Madame de Montespan. 6 P. Malandain, La Fable et lâintertexte, Paris, Temps actuels, coll. Entaille/s », 1981, p. 31. 4La soif dâimmortalitĂ© du poĂšte est Ă©tanchĂ©e au-delĂ de toutes ses espĂ©rances5. Le texte lafontainien est Ă la fois lâun des plus truffĂ©s dâavant-texte qui soient mais aussi l'avant-texte le plus frĂ©quent et le plus copieux de toute la littĂ©rature6. 5Pour des gĂ©nĂ©rations dâenfants du XIXe et du XXe jusque vers 1970, les Fables constituaient Ă la fois le passage obligĂ© Ă la littĂ©rature française dont la littĂ©rature classique formait en quelque sorte le noyau dur et les bases solides dâun univers moral peuplĂ© de crĂ©atures inattendues, de mots rares, de tournures insolites oĂč le rĂ©el et lâimaginaire se mĂȘlent curieusement. La leçon de morale qui se dĂ©gageait de ces fables â une trentaine tout au plus, choisies dans les premiers livres et toujours les mĂȘmes â Ă©tait des plus simples et presque toujours individuelle, moulĂ©e sur le caractĂšre de protagonistes. Si les Ă©tudes critiques refusent toute didactisation de la fable lafontainienne, elles insistent nĂ©anmoins sur la fonction irremplaçable dâĂ©ducatrice du dialogue et de la libertĂ© intĂ©rieure que les Fables nâont cessĂ© de remplir, quelle que soit la perspective dâĂ©tude envisagĂ©e et quel que soit le destinataire. 7 On nâabordera pas lâaspect proprement linguistique des Fables, dâailleurs peu favorisĂ© depuis une q ... 6Le clivage perdure aujourdâhui entre ceux qui nâentendent faire dialoguer un auteur quâavec lui-mĂȘme et ceux qui se proposent de saisir les rapports quâun texte entretient avec les productions littĂ©raires et artistiques. De cette summa divisio peut dĂ©couler une Ă©tude organisĂ©e selon cinq axes. Le premier part de la traduction philologique de recherche des sources externes pour sâintĂ©resser Ă la mouvance inter et intra-textuelle des sources internes. Ensuite on sâappuiera sur la tradition giralducienne du poĂšte et de lâartiste pour rendre compte de la poĂ©tique de lâironie, une des directions les plus fĂ©condes de la recherche actuelle. Le troisiĂšme axe dâĂ©tude Ă©clairera le La Fontaine penseur selon trois perspectives le moraliste, le politique, et le philosophe. Ensuite on tentera de dĂ©gager lâapport des Ă©tudes biographiques sur lâhomme et lâĆuvre avant de rĂ©flĂ©chir Ă la rĂ©ception des Fables Ă travers les interprĂ©tations, les réécritures et les illustrations. Se dĂ©gagera de cette synthĂšse des Ă©tudes littĂ©raires sur les Fables Ă partir des annĂ©es quatre-vingt7 une rĂ©flexion sur le didactisme en trompe-lâĆil des Fables et le rĂŽle du lecteur, autrement dit le pacte de lecture. Notes 1 La BruyĂšre, Les CaractĂšres, Des ouvrages de lâesprit », 1 I, Ă©d. R. Garapon », class. Garnier, p. 66. 2 Ăpilogue des six premiers livres. 3 PrĂ©face des Fables. 4 Contre ceux qui ont le goĂ»t difficile, II,1. 5 Voir Le Juge-Arbitre, lâHospitalier et le Solitaire et le prologue A Madame de Montespan. 6 P. Malandain, La Fable et lâintertexte, Paris, Temps actuels, coll. Entaille/s », 1981, p. 31. 7 On nâabordera pas lâaspect proprement linguistique des Fables, dâailleurs peu favorisĂ© depuis une quinzaine dâannĂ©es. Mais il convient dâĂ©voquer lâĂ©tude dâAmulf Stefenelli, Die Lexicalische ArchaĂŻsmen in den Fabeln von La Fontaine, Passau, 1987. Le linguiste montre que la langue de La Fontaine est trĂšs riche, trĂšs variĂ©e et quâelle touche Ă de nombreux registres. Cette publication numĂ©rique est issue dâun traitement automatique par reconnaissance optique de caractĂšres. Lire AcheterFrançais 6° Voici une sĂ©quence sur les fables que je mets en place en 6Ăšme en lien avec le thĂšme de Français RĂ©sister au plus fort ruses, mensonges et masques . En classe, jâutilise ponctuellement le manuel de 6Ăšme gĂ©nĂ©rale Lâenvol des lettres de chez Belin. Ma progression SĂ©quence la ruse dans les fables SĂ©ance 1 redĂ©couvrir les fables de La Fontaine Ă partir du Corbeau et du Renard. Lecture de la fable dans le manuel. Mise en voix par groupes de 3 ou 4. Mise en Ă©vidence des parties dialoguĂ©es en les insĂ©rant dans une BD de la fable trouvĂ©e chez Sobelle. Recherche facultative Ă la maison sur La Fontaine. SĂ©ance 2 produire un Ă©crit Ă la maniĂšre de. Mise en commun des recherches sur lâauteur et fiche pour le cahier de parcours culturel jâai choisi celle de Lafouine. DĂ©couverte de la BD sans texte dâAdrian Maganza trouvĂ©e chez Gandalf Faire rĂ©diger le texte sans forcĂ©ment faire des rimes mais en mettant bien en Ă©vidence les parties dialoguĂ©es. SĂ©ance 3 Mettre en page son texte sous forme de BD. Sur ordinateur ajouter des bulles Ă la BD ci-dessus et y insĂ©rer ses dialogues. SĂ©ance 4 DĂ©couvrir une autre fable sous diffĂ©rentes versions. Lire la version du corbeau et du renard dâEsope puis faire dĂ©couvrir Le renard et la Cigogne du mĂȘme auteur Ă lâaide des documents de Zaubette. Lecture et explicitation collective de la version de La Fontaine suivies de lâexercice de comprĂ©hension suivant images renard et cigogne Pour finir, nous avons créé des mots croisĂ©s autour du vocabulaire difficile » de la version de La Fontaine. Prolongement en arts plastiques reprĂ©senter Le renard et la Cigogne sous forme de BD.gkn8hHa.